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Evita, vida y obra de Eva Perón

Evita, vida y obra de Eva Perón

L'HISTOIRE

Je ne connais pas l'histoire et n'ai trouvé aucune information à son propos. Si vous avez des informations sur cette histoire, n'hésitez pas à me les envoyer, je les publierai pour enrichir le site.

Eva Perón, dite "Evita", a été la première dame d'Argentine, seconde femme du président Juan Perón.
 

© Héritiers d'Alberto Breccia (pour toutes les reproductions publiées)

Auteur(s):Alberto Breccia
Scénariste(s):Hector Oesterheld
Année de publication:1970
Editeur(s):Doedytores
Style:Noir & Blanc
Type:Album / One shot
Nombre de pages:64 environ
Disponible en Français :Non (Espagnol)


QUELQUES IMAGES

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  1. La couverture d’accroche de cet article (sur fond rouge-orange) représente l’édition Doedytores (c.-à-d. Javier Doeyo) mais date de 2002, à l’occasion du 50e anniversaire de la mort d’Eva Peron. La publication originelle date par contre bien en Argentine de 1970. Ce récit fait immédiatement suite à l’antérieure publication de “Che”, en s’inscrivant dans l’ambitieux projet d’Oesterheld d’écrire maintes biographies de Latino-américains célèbres. MAIS, suite aux aléas politique de l’époque (pour rappel, les originaux du “Che” furent détruits par la junte), Oesterheld abandonne “Evita”. Laquelle sera reprise peu après par d’autres scénaristes (inconnus) puis éditée en couleurs (très mauvaises, d’après Breccia lui-même) comme c’était l’habitude à l’époque.
    Le travail d’archéologie entrepris par Javier Doeyo est remarquable, parvenant à restituer les N & B de Breccia, dont les originaux ont disparu.
    Pour l’anecdote, Javier Doeyo est l’un des contacts majeurs de Latino Imparato (Vertige Graphic), l’éditeur français de Breccia, dont les publications soigneuses suscitent toujours en Argentine un grand émoi.

  2. PS. le récit dessiné par Breccia compte 59 planches + (dans l’édition Doedytores) 2 pages de postface par J. Doeyo, avec un fac-simile de la première page de scénario tapée à la machine par Oesterheld. Il s’agit d’un récit illustré, donc sans bulles, quelque part “à l’ancienne”.
    D’autre part, malgré le talent de leurs auteurs ou de leurs éditeurs, les Argentins sont aujourd’hui toujours dans l’impossibilité (économique) de publier des bandes dessinées selon les critères de qualité européens. D’où ce côté “cheap”, sur papier journal ou presque, avec couvertures souples. On comprend ainsi un peu mieux leur émerveillement lorsque des publications françaises parviennent parfois entre leurs mains.

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