Derechos Humanos – Dibujar o no
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 L'HISTOIRE"Dibujar o no" est une histoire courte qui fait partie d'un album collectif.Dans cette histoire, un dirigeant politique fait interdire le dessin dans son pays sous prétexte qu'il ne sait pas bien dessiner. Tous les symboles graphiques sont désormais interdits, et les dissidents risquent l'arrestation, voire la mort. La ville devient sombre et sans âme car les murs sont recouverts de noir par les militaires. Plus aucun signe graphique ne subsiste. Un jour, le dictateur fait venir une jeune femme dans sa chambre et quand ce dernier se déshabille, il se fait tuer par ses hommes car il avait le dessin d'une sirène tatoué sur son torse. |
MON AVIS"Dibujar o no" (que l'on traduit par "Dessiner ou non") est une histoire courte dans laquelle Breccia met le dessin au centre de l'histoire. Il en devient une arme, un contre-pouvoir qui se retourne finalement contre son agresseur. La dernière phrase est "Y el dibujo de su sangre lo sobrevivio" ("Et le dessin de son sang survit")© Héritiers d'Alberto Breccia (pour toutes les reproductions publiées) |
| Auteur(s): | Alberto Breccia |
| Scénariste(s): | Juan Sasturain |
| Année de publication: | 1978 |
| Editeur(s): | Ikusager |
| Style: | Couleur |
| Type: | Histoire courte dans un album collectif |
| Nombre de pages: | 8 |
QUELQUES IMAGES
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Tome #11 de l’excellente et assez novatrice collection de bandes dessinées chez l’éditeur basque Ikusager en Espagne à l’époque, ce recueil compte aussi sur l’apport de A. Palacios; Juan Giménez/Cava; Will Eisner; M. Manara; A. Goetzinger. C’est le premier d’une série sur des thématiques centrées sur les droits humains, avec une mise en page et une préface aussi intéressantes que didactiques.
PS. A sans doute aussi bénéficié d’une micro édition en langue basque, à l’époque.